Les entreprises doivent dès maintenant passer à la vitesse supérieure pour se préparer à la facturation numérique obligatoire en 2026.

La première édition de l’indice d’e-facturation révèle une croissance impressionnante du taux d’adoption parmi les utilisateurs d’Exact Online. La hausse s’élève à 250 % par rapport au trimestre précédent et à plus de 800 % par rapport au premier trimestre de 2024. Les chiffres montrent que ce sont surtout les plus grandes entreprises, qui disposent de solutions de comptabilité avancées, qui ont franchi le pas. Du côté des PME, la dynamique en est encore à ses balbutiements, malgré le fait que l’échéance se rapproche.

Le Baromètre PME indique que 14 % seulement des PME utilisent désormais essentiellement la facturation électronique, ce qui laisse une marge importante de croissance. Il ressort de cette même étude que les entrepreneurs se heurtent à plusieurs écueils : des défis techniques (38 %), le délai et les investissements nécessaires (36 %), la résistance des clients ou des fournisseurs (33 %) et… l’absence de sentiment d’urgence (26 %). En d’autres termes, de nombreuses PME font face à d’importantes réticences qui les freinent dans l’adoption de l’e-facturation. Pourtant, la tendance est à la hausse et les entreprises qui ne passent pas à la vitesse supérieure risquent de se laisser distancer.

« Les données de notre indice montrent que nous sommes en phase d’accélération », souligne Geert Grauls, responsable Customer Support chez Exact. « Mais nous constatons aussi que de nombreuses petites entreprises ne sont pas encore suffisamment préparées. Pour ces PME, il est grand temps de réagir, d’autant qu’elles se privent d’avantages considérables : des paiements plus rapides, moins d’erreurs, une administration plus efficace. »

En plus de devenir obligatoire, l’e-facturation offre de multiples avantages aux entreprises, comme une trésorerie plus fluide, une réduction du risque d’erreur et une charge administrative allégée. D’ailleurs, de plus en plus de clients et de partenaires s’attendent à ce que les entreprises adoptent la facturation électronique, d’autant que l’e-facturation prend une importance stratégique sur le plan concurrentiel.

En réalité, l’e-facturation est déjà obligatoire pour les transactions avec les instances publiques. Depuis 2024, les règles ont été renforcées et la Commission européenne s’apprête à imposer l’e-facturation dans toute l’UE. Pour les entreprises belges, il ne s’agira donc bientôt plus d’une simple option, mais d’une condition pour pouvoir poursuivre leur activité. Avec son entrée en vigueur obligatoire pour les transactions B2B en Belgique, l’e-facturation électronique s’impose désormais comme une exigence.

Pour aider les entrepreneurs, les professionnels de la finance ainsi que les experts-comptables et leurs clients, Exact propose non seulement un aperçu de la réalité du terrain avec son indice d’e-facturation, mais aussi des supports pratiques. Par exemple :

« Selon l’enquête du Baromètre PME, beaucoup d’entreprises et cabinets comptables se heurtent à divers obstacles pour implémenter l’e-facturation, notamment le manque de temps. Chez Exact, nous facilitons au maximum la vie des entrepreneurs et des experts-comptables en simplifiant le déploiement de l’e-facturation dans notre logiciel. Toutes les versions d’Exact Online et Mon [Coach] intègrent par défaut l’envoi et la réception de factures électroniques via le réseau Peppol. Les entrepreneurs et les experts-comptables peuvent ainsi l’activer en 10 minutes », explique Geert Grauls. « En combinant un indicateur de taux d’adoption et des outils pratiques, nous voulons aider les entrepreneurs et les experts-comptables à se conformer à la législation, tout en les encourageant à tirer pleinement parti des avantages de l’e-facturation. »

Exact encourage les entrepreneurs et les experts-comptables à se préparer sans plus attendre. « 2026 peut apparaître comme une échéance lointaine, mais une transition rigoureuse prend du temps », souligne encore Geert Grauls. « En commençant dès maintenant, vous éviterez le stress de dernière minute et les risques opérationnels. De plus, c’est l’occasion de réaliser des gains d’efficacité durables dans l’organisation. »